Tome II

Les chants de l'exil

Fiche

Poésie 

© 2003-2010

364 pages

ISBN - 979-1-0343-9553-8

22 euros

 


Résumé

2e Trilogie de poésie incluant les recueils : 

L'éternité retrouvée (2003)

Vanités infernales (2009)

Au delà la nuit (2010)

 

Notes

L'éternité retrouvée

L’éternité retrouvée est le premier recueil de poésie d’une trilogie de l’auteur écrite entre les années 2003 et 2009. Sous une plume intime, les thèmes suivants y sont traités : la Solitude, l'Amour, Dieu, les Injustices, la Révolte, le Temps, l'Enfance, la Nostalgie...
Parmi plus d’un millier de poèmes écrits à Paris, à Angoulême, à Bordeaux, ce recueil emprunt de mélancolie n’omet pas toutefois d’inscrire entre les lignes un témoignage poignant sur celles et ceux, proches ou inconnus qui livrent par leur dévotion, leur courage, leur intelligence, leur différence et leur créativité un combat, contre la bêtise collective qui suit la folie des puissants, contre l’ignominie d’extrémistes qui réduisent la vie d’innocents en néant, bref un appel sous-jacent, qui préfigure les livres suivants de l’auteur, à la liberté de l’être, à son développement et épanouissement total face à la magie et au drame qu’est la vie, et à son insoumission devant toute forme d’oppression.

Vanités infernales

Vanités infernales est la suite, le complément de L'éternité retrouvée. Néanmoins dans ce recueil de poésie écrites également entre les années 2003 et 2009, on peut noter l'apparition d'une plume plus acérée, de sentiments plus contrastés et d'une véritable ode à l'insoumission devant un destin capricieux.

Au delà la nuit

Suite et fin de l’Eternité retrouvée et Vanités infernales, Au delà la nuit sonne le glas d’une décennie de réécritures poétiques instinctives, écorchées, exaltées.
David R Belair clôture cette seconde trilogie par une écriture soulagée. Entre prose et vers libres l’écrivain retrouve la liberté de composer après la dictature du désespoir narrée dans le second tome.
Le poète ne décrit plus l’urgence de vivre. Il retourne comme à ses plus beaux souvenirs, de manière presque apaisée. La lucidité l’a emporté sur les espoirs vains.
Quand bien même cela ne serait qu’une illusion, l’auteur en rendant hommage à ces plus nobles paysages, à ces plus ardentes exaltations, à ces aspirations salutaires, semble avoir trouver de nouvelles correspondances. Le dernier poème est une invitation, même si elle semble se faire en aparté du monde, son programme d’ascétisme et d’enrichissement spirituel laisse présager de belles perspectives.
Les promesses ont été tenues, le poète a bravé les épreuves et ses visions et valeurs lui ont permis de trouver une nouvelle voie plus lumineuse.
La transformation a eu lieu sous nos yeux et pourtant nous n’avons rien vu, à moins qu’immédiatement nous retournions aux origines, au premier tome pour refaire le chemin et mieux comprendre.
Comme la généreuse invitation à se donner à soi même un sens à la vie, dessiner une voie, avancer, tenir bon, se transformer, maintenir le cap, se dépasser, s’élever et être heureux un jour, au gré du pire et du meilleur, de sa vie.

 

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