Un manque funeste

crédit photo © animam aedificantes tous droits réservés
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Fiche

Scénario : David R Belair

Réalisation : David R Belair

Distribution des rôles :

Estelle Bonnier 

Vincent Launay Franceschini 

Montage : Tourné & Monté simultanément

Production : DRB

Année : 2002 

Le film

Résumé

Une femme en manque d'amour empoisonne un de ses amis libertins pour connaître une fois une seule le plaisir 

Notes de Mr Belair

J'ai tourné ainsi d'innombrables films, parfois scénarisés parfois complètement improvisés.

Je recrutais un comédien ou une comédienne et je tournais/montais en même temps.

C'est une excellente école, je conseille à cela à tous les cinéastes débutants.

 

La version proposée ci-dessus je l'ai d'abord tourné en 2002 avec un ami et une actrice découverte à la Maison du film court.  Puis je l'ai réécris en 2003, alors à Angoulême et proposer à un jeune producteur local sans suite et en 2006 de retour à Paris j'ai à nouveau chercher des financements auprès de nombreux producteurs.

D'innombrables soit disant acteurs producteurs soucieux de laisser une place aux jeunes ne m'ont même pas calculés.

Il paraissait que l'histoire était vue et revue. Eh bien moi qui avait vu quelques milliers de films je n'avais guère vu tant de fois cette approche. Enfin. 

De mon côté je faisais ma part, dont recevoir l'agréable permission de Carole Laure d'utiliser une de ses chansons très importante à mes yeux pour la scène finale.

Je rencontrais une monteuse Elodie Leyne qui alors avait déjà assister des réalisateurs et qui à mes côtés m'accompagna dans le découpage technique ainsi que le casting de l'équipe.

Je souhaitais à l'image Caroline Champetier dont je ne me souviens plus si elle me donna son accord mais qui en tout cas deux ou trois ans plus tôt m'avait complimenté pour "la naïveté, l'innocence et la sincérité" de mon scénario de long métrage One of this way/Notre chemin.

C'est un jeune producteur des courts à la société Maia Cinéma de Gilles Sandoz  qui me proposa de le produire.. Enfin j'allais pouvoir tourner en 35mm et attirer plus de notoriété ou de critiques, ce qui dans les deux cas est bon, mais ce jeune producteur allait disparaître dans la nature du jour au lendemain. Je cherchais la reprise d'un producteur, en vain.

Aucun autre producteur n'était intéressé par ma faute comme je le réaliserai plus tard en le devenant, un producteur a besoin de s'accaparer une histoire, un projet, de rêver, de se faire son film et moi j'arrivais avec pratiquement toute l'équipe et un scénario sans détour possible.       

Avis du public

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